Plan
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Objets du Louvre. Gaston Migeon fut le conservateur jusqu'en 1923 du département des objets d'art et il tenta d’enrichir les collections d’extrême orient |
Plan du RdC du Louvre en 1923. On entre dans le musée oriental par l'escalier près de la salle des moulages antiques (21) , on trouve d'abord la collection de porcelaines chinoises Grandidier , suit une salle de sculptures, puis des dalles funéraires et des bronzes chinois. On trouve ensuite les laques de Marie Antoinette, des bouddhas, un bonze de la collection Aynard, les sculptures de l'Inde de M Foucher, les objets du Turkestan de la mission Pelliot, les tombeaux chinois de M Chavannes et un portrait de prêtre assis don de Mme Gillot au milieu de dessins et d'estampes, dons des amis du Louvre. |
Estampe de la collection Camondo léguée au Louvre Sharaku: deux acteurs de Kabuki |
Le musée chinois de l'impératrice à Compiégne |
Le musée d'art khmer de Compiègne |
Œuvres du musée: originaux et moulages |
La balustrade de Preah Kanh à l'exposition de 1878 |
La balustrade de Preah Kanh au musée indochinois |
Le moulage d'une tour du Bayon |
Vitrine des aïnous ( Nord du japon, russie) dans la nouvelle salle d'Asie du musée du Trocadéro en 1934 |
Rien n'a changé depuis 1903 au musée d'Ennery |
Clémence d'Ennery ajouta 3 galeries à son hôtel particulier pour exposer ses collections |
La grande salle de Cernuschi. |
Le musée Guimet |
A la révolution le Louvre et la BN recueillent une partie des cabinets de curiosité du Roi et des riches particuliers ou se trouvaient - au milieu de beaucoup d'autres choses - des objets de Chine et du Japon.
Les marins ramènent des objets au musée de la marine du Louvre, l'impératrice Eugénie créée un musée chinois à Fontainebleau.
A la fin du XIXe siècle de fortes personnalités installent leurs collections dans des musées: Clemence d'Ennery avenue Foch, Cernuschi au parc Monceau, Delaporte au Trocadéro, Guimet à Lyon tout d'abord puis à Paris.
Plus tard les collections artistiques publiques seront regroupées au musée Guimet alors que les objets ethnologiques iront au musée de l'homme.
Les premiers objets d’Extrême Orient à atteindre l’Europe furent des porcelaines chinoises puis japonaises . Sous Louis XV se développe le gout pour les chinoiseries: les fabriques sont souvent des pagodes et les cabinets de curiosités comportent des céramiques chinoises ou des laques.
La révolution marque le retour à l'antique. L'expédition d'Egypte amène un intérêt pour les civilisations disparues qui s'étend vers les civilisations d’Extrême Orient dans la seconde moitié du XIX e siècle.
Le premier musée témoin de la nouvelle curiosité pour les objets du monde entier fut le Victoria and Albert Museum , ouvert suite à l'exposition de 1851 sous le nom de musée de South Kensington.
La redécouverte d'Angkor par Mouhot, la création d'un musée chinois par l'impératrice à Compiègne, les expositions universelles, éveillent en France l’intérêt du public; il s’agit toujours de "curiosités", pas vraiment d'art.
L'exposition de 1878 présente au Trocadéro des collections ethnographiques et en particulier les pièces du musée Cambodgien de Compiègne.
Le gout japonisant va se développer à la Belle Epoque, il influencera Monet, connaîtra de grands collectionneurs - dont Clemenceau et les Goncourt - et fera la fortune des marchands - comme Hayashi ou Bing -.
A la mode japonisante succède la mode chinoise portée par le couturier Doucet et le banquier David Weill.
Au cours du XXe siècle Guimet va s'affirmer comme le musée de référence des arts d’extrême orient mais la pérennité de ce type de musée n'est pas complètement établie ainsi que le prouve la fermeture des
des musées d’extrême Orient de Bruxelles pour raison de sécurité.
Le Louvre
Lorsque le muséum de la république française ouvre en 1793 il comporte 124 "objets divers" dont douze vases de porcelaines de chine et du Japon.La collection de laques de Marie Antoinette sera exposée un peu plus tard.
La collection d'objets d’Extrême Orient (1) va s'enrichir de dons au cours du XIX e siécle et au début du XX e : (Grandidier, Lebaudy, Camondo, Koechlin, Marteau, Aynard, Doucet, Weill, ...) et de certaines expéditions (Foucher, Pelliot et Chavannes).(2)
La collection n'a rien d'"exhaustif ", elle comprend des œuvres de L'inde bouddhique, du Turkestan, de la Chine, et du Japon.
A la libération, les collections asiatiques du Louvre sont transférées à Guimet.
- Initialement rattaché aux objets d'art, la collection devient département en 1932 avec G Salles comme conservateur. C'est ce même G Salles, devenu directeur des musées de France, qui décida du transfert à Guimet.
- La première installation, dans l'entresol de la grande galerie, comprend 11 salles avec principalement les collections Grandidier et Pelliot-Foucher.
Les salles 1 à 7 sont dédiées à la Chine avec principalement des céramiques mais aussi 3 sculptures des disciples de Bouddha rescapés.
du sac du Palais d'été et "offerts" par l’évêque de Pékin, la salle 8 contient la porcelaine chinoise, les salles 9 et 10 des sculptures indiennes de l'expédition Foucher et celles du Turkestan de l'expédition Pelliot, la salle 11 des objets de tombeaux chinois de M Chavanne.
Elle s'agrandira ensuite à 14 salles, les estampes japonaise étant pour la plupart au cabinet des dessins.
Le musée de la marine perdra ses collections ethnographiques en 1905 au profit du musée ethnographique du Trocadéro, du musée Guimet et du musée chinois de Fontainebleau. Il sera séparé administrativement du Louvre en 1919 et s'installera en 1943 au palais de Chaillot.
Le musée Chinois de l'Impératrice
L'impératrice aménagea dans trois pièces du palais de Fontainebleau un musée chinois rassemblant des objets provenant de trois sources: le cabinet des antiques de la BN , les objets du sac du palais d'été en 1860 et des cadeaux de l'ambassade du Siam de 1861. Les premiers provenaient essentiellement des cabinets de curiosités saisis à la révolution et les seconds de l'armée française qui ramena un sceptre de l'empereur de Chine, deux vases cloisonnés, deux dragons de bronze " gros comme des tigres".
De son coté l'Empereur constituait une collection d'armes à Pierrefonds.
Après la chute de l'empire il fallut savoir si ces collections -propriétés personnelles de l'ex empereur - devaient être rachetées par l'état. Pour les armes il n'y eut aucune discussion, mais les objets chinois furent d'abord considérés "comme des curiosités". Viollet le Duc s'insurgea et mis en avant que les anglais -avec la création du musée de Kensington- étaient bien plus avisés.
Finalement le musée fut sauvé mais s'endormit sous la poussière. Restauré dans les années 2000 il est à nouveau visible.
Le musée de Louis Delaporte
Henri Mouhot était naturaliste, il décide de parcourir le le Siam, le Cambodge et le Laos en 1858. Il découvrira Angkor mais mourra dans un autre voyage en 1861. Son récit, publié dans le Tour du Monde en 1863, provoque un immense engouement pour l'art Khmer.Son successeur sera Louis Delaporte (1) qui effectue des relevés, des estampages et prélève aussi de nombreuses statues.
De retour en France il ouvre un premier musée en 1874 dans la salle des gardes du palais de Compiègne (désert depuis la chute de l'Empire).
On y trouve des statues de Bouddha ou le naga de la balustrade de Preah Khan, des stèles mais aussi le moulage de la tête du roi Lépreux ou de la mort du roi des singes d'Angkor Wat.
A l'exposition universelle de 1878 le nouveau palais du Trocadéro contient "l'exposition des arts rétrospectifs". L'aile Ouest était dédiée à "l'exposition historique de l'art ancien" de la préhistoire aux temps modernes et l'aile Est à "l'exposition ethnographique des peuples étrangers" de l'Egypte à la Suède, avec une mention spéciale pour les objets du musée cambodgien de Compiègne.
En 1882 s'ouvrent les nouveaux musées du Trocadéro avec dans l'aile Paris ( Est) le musée de la sculpture comparée, autour de la salle des fêtes le musée ethnographique et au bout de l'aile Passy le musée Indochinois (2).
Le musée mélange moulages et originaux. Il subsistera jusqu'à la mort de Delaporte en 1925.
Les originaux seront peu à peu transférés à Guimet et les moulages seront "stockés" et échapperont de justesse à la destruction totale.(3)
- Pour être exact ce sera d'abord Doudard de Lagrée qui ramena les premiers moulages d'Angkor -qui seront exposés à l'exposition universelle de 1867- mais celui-ci meurt en 1868 en Chine à la fin de son expédition de la vallée du Mékong.
- A l'origine on prévoyait un musée des moulages de l'Assyrie et l'Egypte à la décadence romaine dans l'aile Passy qui aurait été le complément du musée de sculpture comparée dédié aux périodes plus récentes
- Les moulages, endommagés lors de l'exposition de 37, seront stockés à Clichy, puis à St Riquier.
Le cabinet des médailles et antiques de la BN et le musée ethnographique du Trocadéro
Le roi et les riches particuliers des "cabinets de curiosité" mélangeant histoire naturelle, œuvres d'art, objets antiques et objets ramenés d'expéditions. A la Révolution nombre d'objets sont transférés au cabinet des médailles et antiques qui se créé à la bibliothèque nationale.(1)
Le musée ethnographique ouvert en 1882 au Trocadéro a pour premier fonds les objets du cabinet des antiques de la BN sans rapport avec l'antiquité.
Il aura sa salle d'Asie et d'Indonésie contenant surtout des costumes et des céramiques.
Durant le début du XX e siècle le musée s'enrichit rapidement puis tombe dans l'oubli.
Il connait une nouvelle vie en 1929 en recevant les objets ethnographiques du muséum d'histoire naturelle.
Son descendant sera le musée de l'homme qui ouvre en 1939 dans le palais de Chaillot.
Elle installe sa collection dans son hôtel particulier du 59 avenue Foch.
Les visites ne se font aujourd'hui que par petits groupes car le lieu est fragile, le temps s'y est arrêté en 1898. A voir absolument !
Durant le début du XX e siècle le musée s'enrichit rapidement puis tombe dans l'oubli.
Il connait une nouvelle vie en 1929 en recevant les objets ethnographiques du muséum d'histoire naturelle.
Son descendant sera le musée de l'homme qui ouvre en 1939 dans le palais de Chaillot.
- Les objets de peuples lointains n'ont au lendemain de la Révolution guère d’intérêt à coté des médailles antiques ou du trésor de St Denis qui arrivent à la BN, mais il y avait de tout dans les cabinets de curiosité.
Le musée d'Ennery
Clémence d'Ennery était une cocotte qui finit par épouser un journaliste dramaturge à succès. Elle a du gout, beaucoup même pour une femme sans éducation particulière. Elle a commencé sa collection dès l'age de vingt ans en 1843 (1). Les pièces viennent aussi bien des rayons du Bon Marché que des grand marchands de l'époque ( Bing, Hayashi Tadamasa,..). Elle a une attirance particulière pour les netsuke -ces petites sculptures japonaises que l'on suspend à la ceinture- mais n'aime pas les estampes.Elle installe sa collection dans son hôtel particulier du 59 avenue Foch.
Les visites ne se font aujourd'hui que par petits groupes car le lieu est fragile, le temps s'y est arrêté en 1898. A voir absolument !
- Donc bien avant le japonisme qui ne sera une mode qu'après 1870. Avant cette mode les collectionneurs d'objets japonais étaient de grands aristocrates comme Morny ou Lannes poursuivant la tradition de collection de la Pompadour ou de Marie Antoinette
Le musée Cernuschi
Henri Cernuschi se réfugie en France en 1850, banquier et républicain il entreprend un voyage autour du monde en en 1871. Il achète des objets au Japon et en Chine qu'il exposera au palais de l’industrie en 1873 (1). Il fait édifier à coté du parc Monceau un hôtel particulier dont la pièce centrale accueillera un grand Bouddha Amida et ses collections. Il lègue le tout à la ville de Paris et le musée ouvre en 1898. Le musée connaîtra des hauts et des bas mais s'enrichit d'objets coréens et vietnamiens. Il a été rénové en 2005, le rez de chaussée étant dédié aux expositions temporaires et le premier étage aux collections permanentes dont le bouddha et un grand vase en bronze de la deuxième dynastie chinoise -les Shang -.- Une première exposition des collections privées, " le musée oriental", s'était déjà déroulée au palais de l'industrie en 1869.
Le musée Guimet
Emile Guimet, fils d'industriels Lyonnais(1), se prend de passion à la suite d'un voyage en Egypte pour la collection d'objets religieux. Il s'intéresse d'abord à l'antiquité classique puis souhaite effectuer une comparaison avec les arts d’extrême orient. Cela le décide à visiter le Japon, la Chine et l'Inde. Il sollicite une lettre de mission officielle d'études des religions qui va lui permettre de parcourir en 1865 ces trois pays.A l'exposition universelle de 1878 on signale au palais du Trocadéro "quantité d'objets rapportés de la Chine, de la Corée, du Japon et de l'Inde par M Guimet, manufacturier, compositeur de musique (2) et voyageur; des vases, des bronzes, des meubles, des émaux cloisonnés, des ivoires, etc,.. ainsi que des tableaux de M Regamey son compagnon de voyage" .
Guimet construit un musée à Lyon , ouvert en 1879, mais constatant que les savants et les curieux ne viennent qu'à Paris, il propose de le déménager en 1882 en offrant à l'instruction publique de créer un "musée des religions d’extrême Orient". La combinaison est assez habile car elle permet d'éviter la confusion avec le musée d'ethnographie qui vient d'ouvrir au Trocadéro. Les tractations aboutissent en 1885 : la ville apporte le terrain, Guimet construit le bâtiment en échange d'une subvention d'une moitié du prix et d'un crédit annuel de fonctionnement. Guimet est directeur à vie de ce nouveau musée qui ouvre en 1888.
En 1921 et en 1927 on créa deux galeries khmères au rez de chaussée pour accueillir les originaux du musée indochinois du Trocadéro. L'orientation du musée passe de l'histoire des religions à l'archéologie de l’Extrême-Orient. En 1932 le musée est complètement réorganisé, il reçoit des sculptures khméres et du champa qui avaient été exposées à l'exposition coloniale et des fresques afghanes provenant d'une expédition menée par M Hackin conservateur du musée.
En 1945 le musée reçoit les collections asiatiques du Louvre.
...
Peu à peu le musée s'impose comme le destinataire de toutes les productions artistiques de l’extrême orient, laissant les objets purement ethnographiques au musée de l'homme.
- Son père est le fondateur de Péchiney
- Il composera même un opéra: Taï -Tsoung (un empereur Song)
Sites et références
- Les musées
- Histoire du Louvre
- Le musée chinois de l'Impératrice
- Le musée Indochinois
- Le musée ethnographique du Trocadéro ( en fin d'article)
- Le musée d'Ennery
- Le musée Cernuschi
- Le Musée Guimet
- Guides Joanne du musée du Louvre 1910
- Le musée du Louvre. Louis Hourticq 1920
- Guide Promenades japonaises. Guimet 1880
- Les arts méconnus Soldi 1881
- Catalogue du musée Guimet ( à Lyon). de Milloue 1883
- Catalogue du ( deuxième) musée Guimet à Lyon 1913
- L'art Khmer. de Rozier 1875
- Exploration et missions de Doudart de Lagrée. Villemereuil 1883 ( cet ouvrage contient p 305 la seule référence que je connaisse à une exposition des plâtres d'Angkor en 1867, les albums de l'exposition sont muets sur le sujet )
- Voyage au Cambodge. Delaporte 1880
- Les collections d’extrême Orient au Louvre 1925
- Le jubilé du musée Guimet. Guimet 1904
- Annales du musée Guimet. 1880-1909
- Guide illustré du musée d'Ennery. Deshayes 1908
- Photos modernes du musée Guimet rénové en 2001 par H Gaudin
Les expositions universelles et coloniales | ||
Le pavillon chinois dans les jardins du Trocadéro en 1878. Chaque nation a son pavillon avec des "attractions" Le palais contient une "exposition ethnographique des arts étrangers." ou on note "les collections de MM Bing, Burty, de la Narde, de Camundo et Guimet" |
Pavillons de l'exposition coloniale de Marseille en 1906 | La reproduction du Temple d'Angkor à l'exposition coloniale de 1931. Sa construction fut possible grâce aux relevés et estampages de Delaporte |
Les expositions universelles permettent à un large public de découvrir le monde ( surtout à partir de celle de 1878). Les expositions comportent des rues des nations ou des sections spécialisées qui font place à d'autres civilisations ( histoire du travail, histoire de l'habitation, anthropologie physique, ..). Les foires commerciales des villes importantes comportent souvent des vitrines d'objets ethnographiques montrant l'industrie des peuples lointains. Le début du XXe siècle verra la mode des expositions coloniales dont l'apogée sera celle de 1931 au bois de Vincennes |
Le premier musée Guimet à Lyon | ||
Le bâtiment du musée transformé en patinoire | Plan du musée. RDC: céramique. 1er: religions | Le panthéon bouddhique existe déjà sous une forme plus réduite. Il faudra attendre 1991 pour le revoir dans l’hôtel Heidelbach, annexe de Guimet, |
Guimet ouvre son musée en 1879 sur l'actuel boulevard des belges, près de la Tête d'Or. Pour lui le bâtiment représente le tiers du musée définitif. Il présente deux niveaux d'exposition avec une rotonde bibliothèque à une extrémité. Le bâtiment Lyonnais et le futur bâtiment parisien ont d'ailleurs un air de famille car les mêmes architectes, Jules Chatron puis Charles Terrier, et le même décor néo-grec. Guimet vendra ce bâtiment en 1897 et, agrandi, il deviendra une patinoire: le palais de glace. Cet établissement fera faillite rapidement, le bâtiment sera racheté par la ville de Lyon en 1909 et redeviendra un "musée Guimet" en 1913. Le bâtiment recevra aussi le muséum d'histoire naturelle de Lyon et le musée colonial. Le lieu est complètement abandonné depuis l'ouverture du musée des confluences. Il s'agit d'un musée d'histoire des religions et de la céramique. L'entrée présente des marbres romains et le rez de chaussée est dédié à la céramique, chinoise à droite de l'entrée et japonaise à gauche. Le premier étage est celui des religions d'Asie. La première salle à droite est consacrée au Brahmanisme, et au Bouddhisme (Inde, Tibet, Chine, Cambodge et Siam), la seconde à la Chine (Confucianisme, Taoïsme ), et les salles à gauche au Japon (Bouddhisme, Shintoïsme, influences chinoises). Dans les salles sont reparties des peintures de F Regamey montrant des scènes "typiques" ( cérémonie du thé, ..;). Il y a aussi une vitrine américaine et, à l'origine, une section consacrée aux début de la passion de Guimet pour les religions, c'est à dire les religions de L'Egypte ancienne de la Grèce, de l'Italie et de la Gaulle. Notez la prééminence des objets du Japon car Guimet, lors de son voyage, y a été reçu comme représentant officiel à un moment ou le gouvernement souhaite faire des réformes religieuses alors qu'il n'a connu que l'hostilité des mandarins en Chine. |